Le syndrome des jambes sans repos, vous connaissez ?
Après une journée de travail, suivie d’un repas de bon aloi et d’une soirée trop courte, vous allez au lit pour y gagner un repos bien mérité. Douillettement allongé sous les couvertures… Le sommeil vient… vous vous sentez plonger agréablement… et là, CRAC ! Un besoin impérieux de bouger les jambes vous réveille, vite fait bien fait !
Et ainsi de suite jusqu’à ce que vous ayez envie de balancer des grenades par la fenêtre. Ce qui, notez-le bien, ne changerait strictement rien à votre problématique. Et vous attirerait probablement des ennuis avec les voisins.
Vous êtes victime du “syndrome des jambes sans repos” (SJSR pour les intimes, ou pour ceux qui aiment ces acronymes dont notre époque est friande). On dit aussi : avoir des “impatiences dans les jambes”.
“Mieux” que le supplice de la goutte d’eau
Ce syndrome est une variante très élaborée du supplice de Tantale. Le sommeil tant désiré arrive, et hop, on se réveille, obligé de marcher pour faire cesser les impatiences. A chaque fois que l’on croit toucher le but, il s’éloigne. Un vrai cauchemar.
Les cas bénins… et les autres
Sur le mode mineur, une petite secousse de temps en temps, puis tout va bien. Si vous êtes dans ce cas, ne paniquez pas : vous resterez très probablement à ce niveau, et devrez peut-être surveiller votre alimentation, votre consommation d’alcool, café, thé.
Sur le mode majeur, le manque de sommeil fait rapidement des ravages, et le syndrome peut même se manifester en pleine journée.
Les complications diurnes
Dans les cas graves, le syndrome se manifeste aussi en pleine journée, en voiture par exemple… C’était le cas de la personne dont le témoignage suit. On peut parler de pathologie invalidante. Impossible de rester assis, il faut à tout prix marcher pour faire cesser les impatiences.
Pas de solution en médecine officielle
La cause du SJSR est inconnue. On sait juste qu’un neurotransmetteur, la dopamine, voit son métabolisme perturbé, mais on ne sait ni pourquoi, ni comment régler le problème. Parfois le SJSR est associé à un taux de ferritine insuffisant, mais la supplémentation en fer, lorsqu’elle fait remonter le taux, ne régle pas forcément le problème… et produit des effets secondaires.
L’énergétique cohérente sur un cas de jambes sans repos
Nous avons fait authentifier un témoignage de réussite de l’énergétique cohérente sur un cas de jambes sans repos particulièrement ancien et grave. En énergétique cohérente ce syndrome ne semble pas particulièrement difficile à régler, bien qu’effectivement cela nécessite de faire du sur-mesure : “le point qui règle le SJSR” n’existe pas, il n’y a pas de recette.
Un vrai témoignage
Il faut se méfier des pseudo témoignages devant huissier, en particulier lorsqu’aucun nom d’huissier n’apparaît… Ce sont des faux. Ou parfois il peut y avoir un nom inventé de toutes pièces : ledit huissier n’existant pas, il ne risque pas de se manifester pour rétablir la vérité.
Nous avons eu recours à Maître Beghin, dont on peut facilement vérifier l’existence et la présence à Bailleul (59270).
Au passage, rendons justice à une profession injustement décriée. Il y a des brebis galeuses dans toute profession, de même que certains courriers recommandés procèdent d’une démarche peu scrupuleuse. Mais le recommandé en lui-même est neutre. Il peut être extrêmement secourable. On est tout de même bien content de pouvoir dire : regardez, j’ai bien envoyé mon chèque à telle date.
L’huissier de justice établit une vérité objective, factuelle, en l’occurrence celle d’un témoignage. Il vérifie l’identité du témoin, enregistre le témoignage manuscrit, et garantit ainsi que ledit témoignage n’est pas fabriqué de toutes pièces comme on le voit sur certains sites webs.
Aux dernières nouvelles ce témoin a vu son taux de ferritine remonter
- 14 ng/ml sans les cachets de fer (taux normal : entre 30 et 150)
- 36 ng/ml avec les cachets de fer (mais aucune amélioration du syndrome)
- 100 ng/ml après la séance d’énergétique
Ce qui, dans ce cas particulier, semblerait confirmer un certain rapport entre ferritine et SJSR.
Nota bene : à propos de l’avocat du diable…
Un esprit chagrin dirait peut-être : un cas de guérison, cela ne prouve rien, si ça se trouve dans tous les autres cas vous échouez lamentablement. Nous remercions cet esprit chagrin qui veut si gentiment financer nos futurs frais d’huissier ! En effet c’est tout ce qui nous limite, le coût de l’opération, et le temps que cela prend. Mais l’esprit chagrin se chargera aussi de prendre en charge ce point, après tout Bailleul ce n’est pas si loin. En somme tout va bien et nous le remercions d’avance.
Nous ferons régulièrement d’autres constats devant huissier, nous devons simplement… déjà, trouver des guéris qui acceptent de témoigner ! C’est presque plus difficile que de les guérir… Et bien sûr, nous n’avons pas de planche à billets.
Témoignage en téléchargement
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